Tant de fleurs qui se tendent vers nous
A qui l’on ne dit pas bonjour…
En ville
Pour Patrice Martori
Selon l'humeur, le désir et le moment
Tant de fleurs qui se tendent vers nous
A qui l’on ne dit pas bonjour…
En ville
Pour Patrice Martori
Une merveille de collaboration artistique avec Bernadette Lagarde pour les alpinistes en céramique, avec Robert NIETO pour la récolte du buis des Pyrénées, avec Jean Yves pour la mise en scène.
Toute sa vie fût de travers
Noyée dans le chagrin
Perdue dans la souffrance
Elle me disait, mourante,
« Dieu m’attend et va m’accueillir…
…s’il existe… »
L’IMAGINAIRE VA AU DELÀ DU MONDE RÉEL
Un « imaginaire » ou un « imaginatif» est emporté par sa puissante envie de voir le « monde d’ailleurs » celui derrière ou devant notre monde coutumier.
Quand il vous parle, il est toujours devant, derrière, en bas, en haut, au delà de la pensée commune, en mouvement, en recherche, en découverte.
Rien ne le peine plus que le convenu, au point de le faire souffrir quand on essaye de lui maintenir la tête dedans ou quand ses amis, avec une implacable certitude, nagent a brasses forcées dans les idées reçues, sans plus aucun doute sur la réalité qui les gouverne alors.
Gérard Claverie répond (merci à lui)
Georges Bernard Shaw disait ceci : " l'homme raisonnable s'adapte au monde, l'homme déraisonnable veut que le monde s'adapte à lui. Le progrès ne peut donc venir que de l'homme déraisonnable ".